La TEAM Henri-Fabre sera présente à l’un des plus grands rendez-vous mondiaux de l’aéronautique et de l’espace, qui se déroulera du 19 au 25 juin. Avec pour « punchline » : « L’industrie du futur porte un nom ». Opération : capter l’attention par son offre industrielle et l’ambition de son projet qui vise à créer un écosystème de référence mondiale dans les procédés et services avancés à l’industrie.

 

Tous les deux ans, en juin des années impaires, la grande famille de l’industrie aéronautique regagne les terres du Bourget en Seine-Saint-Denis pour l’événement majuscule du secteur (avec Farnborough en Angleterre et ILA à Berlin). Depuis quelques décennies d’éditions, le match des carnets de commandes entre Boeing et Airbus (qui joue à domicile) y rythme les séances. Et quelques « aéronefs-stars » accaparent les intérêts et les regards.

Selon les organisateurs, près de 2 400 exposants, dont la moitié venant de l’étranger, 140 aéronefs (hors drones), 27 pavillons nationaux, 330 chalets et au moins 150 000 visiteurs professionnels sont attendus cette année.

Les temps s’accélèrent, les codes se réinventent. Certes, le duopole chez les constructeurs continue d’animer les discussions, même s’il est de plus en plus chahuté par l’éveil de nouveaux avionneurs (à l’instar de la Chine avec sa société porteuse : la Comac). Mais la grande affaire dans l’industrie aéronautique ces dernières années reste l’invasion numérique. C’était déjà un sujet en 2015. Ce sera une thématique majeure en 2017. Car, après avoir chamboulé les phases de développement des avions avec la mise en place des maquettes numériques, le digital entre dans l’usine et s’attaque à la production. Avec à la clé, l’espoir qu’il permette de simplifier, optimiser, accélérer tous les process.

D’autant que depuis quelques années, chez les constructeurs ce n’est plus (vraiment) le développement de nouveaux appareils qui concentre toutes les attentions mais l’augmentation des cadences.

 Puissance de feu

« L’industrie du futur porte un nom ». C’est sous ce claim, appuyé par un visuel symbolisant son approche inter-filières (biomédical, aéronautique, énergie, naval…) et armé de plaquettes en plusieurs langues, que le projet Henri-Fabre exposera son offre industrielle, avec les deux donneurs d’ordre fondateurs (Airbus Helicopters, EDF), quelques-unes des entreprises du technocentre (Editag, Expiris, Inovsys, SuperOx, Takoma) et son Campus des métiers et des qualifications (CMQ), sur le stand de 450 m2 (Hall 4, stands B52-54-78) de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

« Nous serons présents sur le Bourget avec 8 partenaires, tous démonstrateurs de l’Industrie du Futur ici en Région PACA : Le stand sera le reflet de l’industrie du futur en PACA », explique la TEAM Henri-Fabre.

L’association apparaîtra en outre aux côtés de l’ARII (Agence régionale pour l’innovation et l’internationalisation), du pôle de compétitivité spécialisé Cluster Safe, porteur de l’organisation du stand pour la Région, une quarantaine d’entreprises et les agences de développement économique Provence Promotion, Team Côte d’Azur, Vaucluse Provence Attractivité et Hautes-Alpes Développement.

Pour le pilote de ce projet, qui vise à créer une filière industrielle de référence internationale dans le domaine des procédés du futur, de la mécanique et des services avancés aux industries, ce sera entre autres l’opportunité de mettre en exergue son technocentre, pierre angulaire de l’ensemble et centre de ressources technologiques mutualisées d’une valeur de 12 M€.

Sensibilisation aux nouvelles technologies susceptibles de bouleverser les méthodes de conception et de production.

« L’industrie du futur se construit autour des nouvelles technologies. Ce technocentre a été conçu pour les rendre accessibles aux PME. La finalité étant de leur donner les moyens de monter en compétences de façon à accroître leur compétitivité. Parallèlement, des groupes de travail dans plusieurs technologies clés favorisent l’émergence de projets collaboratifs pour accélérer les transferts technologiques entre les filières », justifie le positionnement Vincent Gabette, président de TEAM Henri-Fabre depuis quelques jours.

Pour le nouvel élu, qui ouvre une nouvelle page de trois ans (durée de sa « mandature »), l’endroit est stratégique pour « recruter ».

« Notre projet s’inscrit dans un écosystème local. Il dépend de l’attractivité territoriale mais doit aussi y contribuer. Pour que nos entreprises se développent et que l’on puisse attirer de nouveaux savoir-faire et compétences, il faut que le territoire ait une offre de qualité en matière de foncier économique, de transport et de logement avec une vision globale du territoire métropolitain. Nous travaillons toutes ces problématiques de concert avec les autorités publiques ».

À l’occasion du salon, Andrey Vavilov, président de l’entreprise russe SuperOx spécialiste de la supraconduction, qui a choisi le Technocentre des Florides pour y implanter son centre européen de R&D, se verra remettre (le 21 juin) le label « Invest in Provence » par Solange Biaggi et Vincent Gabette, respectivement présidente de Provence Promotion et président de Team Henri-Fabre en présence de Jean-Luc Chauvin, président de la CCI Marseille Provence et de Béatrice Aliphat, déléguée à l’Industrie et aux réseaux d’énergie à la Métropole d’Aix-Marseille Provence.

 

Quelles seront les tendances du Bourget 2017 ?

Dans les halls, les thématiques qui feront le buzz ne seront pas étrangères aux véhicules du futur, drones, expérience passager, intelligence artificielle, mégadonnées et méthodes de fabrication innovantes.

Pour leur offrir un écrin, Paris Air Lab monte en gamme son espace, initié en 2015, consacré à l’innovation dans le Hall Concorde du Musée de l’Air et de l’Espace. Comme la plupart des grands salons aujourd’hui, il visera à favoriser les rencontres entre grands acteurs de la filière et des start-up apportées ou identifiées par Starburst Accelerator.

Quelque 160 appareils civils et militaires devraient y faire des démonstrations en vol ou être exposés au sol.

Airbus Group – Airbus, Airbus Defence and Space et Airbus Helicopters -, présentera des drones, les hélicoptères de la génération H- (H135 et le H145 et le H160, sélectionné en début d’année pour servir de base au futur hélicoptère interarmées légère), les appareils passagers A321neo et l’A350-1000 pour la première fois, au sol et en vol. L’avionneur européen devrait aussi investir une nouvelle zone « Digital Exhibition » offrant de multiples expériences en réalité virtuelle.

Côté Boeing, le 737 MAX 9 (qui a effectué son premier vol d’essai en avril dernier et poursuit actuellement sa campagne de certification) prendra part aux démonstrations en vol mais le 787-10 restera sur le statique.

 

Dans quelle conjoncture s’ouvre le plus grand rassemblement mondial ?

Des paradoxes. En dépit des annonces de suppression de postes qui n’épargnent aucun des grands constructeurs mondiaux, jamais on n’a construit autant d’avions (723 pour Boeing l’an dernier et 629 pour Airbus) tandis que les carnets de commandes d’Airbus et de Boeing assurent une visibilité au long cours.

Fin mai, Airbus avait enregistré 73 commandes nettes d’avions depuis le début de l’année et livré 242 appareils. Son carnet de commandes ressortait à 6 705 appareils, représentant quelques huit années de production.

Au 30 avril 2017, l’avionneur américain avait enregistré 210 commandes nettes et un peu moins de 200 livraisons. À cette date, il avait 5 744 avions à livrer.

Selon leurs prévisions respectives, publiées en 2016, Boeing table sur plus de 39 600 livraisons d’avions neufs d’ici à 2035, un marché d’une valeur de 5 900 milliards de dollars. Airbus, qui, contrairement à son rival, ne comptabilise pas dans ses prévisions les avions de moins 100 sièges, estime les besoins à 33 070 nouveaux appareils. Un marché de 5 200 milliards de dollars.

Ces données s’étayent sur une croissance attendue du trafic aérien de 4,8 % par an en moyenne au cours des 20 prochaines années selon Boeing et de 4,5 % selon Airbus.

L’Association internationale du transport aérien (Iata), qui représente plus de 200 transporteurs aériens prévoit pour le transport aérien un chiffre d’affaires de 743 milliards de dollars en 2017.

 

L’emploi, au coeur des enjeux

L’emploi sera, cette année encore, au cœur du réacteur pour aider la vingtaine de métiers de la production (essentiellement ceux transverses à la métallurgie) en souffrance à trouver des candidats. Selon le Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (Gifas), qui a notamment travaillé sur la refonte des diplômes du CAP au BTS, 2 000 postes seraient ouverts en permanence. Le syndicat professionnel proposera ainsi pour la troisième fois son « Avion des Métiers », qui reproduit la ligne d’assemblage d’un A320.

A.D

Photos : Le Bourget ©DR

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Le programme de la TEAM Henri-Fabre au Bourget

L’association a prévu une série d’ateliers techniques de 20 minutes assurés sur son stand par ses partenaires.

Mardi 10 h

EDITAG : IoT Industriel : exemples d’applications dans la chaîne de production

Mardi 14 h

INOVSYS : Robotisation des procédés : de la preuve de concept à l’industrialisation

Mardi 16 h

EDITAG : IoT Industriel : exemples d’applications dans la chaîne logistique

Mercredi 10 h

CMQ HF : L’emploi et la formation dans l’industrie

 Mercredi 14 h

INOVSYS : Maturité industrielle des procédés de fabrication additive : du démonstrateur au line manufacturing

 Mercredi 16 h

SuperOx : Supraconducteurs à haute température : nouvelles perspectives dans l’industrie aérospatiale

 Jeudi 10 h

Takoma : Réalité virtuelle : démonstration

Jeudi 15 h

INOVSYS : Réduire les couts opérationnels par l’innovation technologique

 

Par ailleurs, Provence Promotion a organisé un circuit industriel à la découverte de l’écosystème local qui emmènera en Provence (dès le lendemain de la fermeture du salon) une quinzaine d’entreprises canadiennes, américaines et belges présentes au Bourget et dotées d’une technologie de pointe dans le domaine de la mécanique et des matériaux. Elles visiteront notamment les plateformes mutualisées du technocentre Henri-Fabre.

La TEAM Henri-Fabre sera présente à l’un des plus grands rendez-vous mondiaux de l’aéronautique et de l’espace, qui se déroulera du 19 au 25 juin. Avec pour « punchline » : « L’industrie du futur porte un nom ». Opération : capter l’attention par son offre industrielle et l’ambition de son projet qui vise à créer un écosystème de référence mondiale dans les procédés et services avancés à l’industrie.

 

Tous les deux ans, en juin des années impaires, la grande famille de l’industrie aéronautique regagne les terres du Bourget en Seine-Saint-Denis pour l’événement majuscule du secteur (avec Farnborough en Angleterre et ILA à Berlin). Depuis quelques décennies d’éditions, le match des carnets de commandes entre Boeing et Airbus (qui joue à domicile) y rythme les séances. Et quelques « aéronefs-stars » accaparent les intérêts et les regards.

Selon les organisateurs, près de 2 400 exposants, dont la moitié venant de l’étranger, 140 aéronefs (hors drones), 27 pavillons nationaux, 330 chalets et au moins 150 000 visiteurs professionnels sont attendus cette année.

Les temps s’accélèrent, les codes se réinventent. Certes, le duopole chez les constructeurs continue d’animer les discussions, même s’il est de plus en plus chahuté par l’éveil de nouveaux avionneurs (à l’instar de la Chine avec sa société porteuse : la Comac). Mais la grande affaire dans l’industrie aéronautique ces dernières années reste l’invasion numérique. C’était déjà un sujet en 2015. Ce sera une thématique majeure en 2017. Car, après avoir chamboulé les phases de développement des avions avec la mise en place des maquettes numériques, le digital entre dans l’usine et s’attaque à la production. Avec à la clé, l’espoir qu’il permette de simplifier, optimiser, accélérer tous les process.

D’autant que depuis quelques années, chez les constructeurs ce n’est plus (vraiment) le développement de nouveaux appareils qui concentre toutes les attentions mais l’augmentation des cadences.

 Puissance de feu

« L’industrie du futur porte un nom ». C’est sous ce claim, appuyé par un visuel symbolisant son approche inter-filières (biomédical, aéronautique, énergie, naval…) et armé de plaquettes en plusieurs langues, que le projet Henri-Fabre exposera son offre industrielle, avec les deux donneurs d’ordre fondateurs (Airbus Helicopters, EDF), quelques-unes des entreprises du technocentre (Editag, Expiris, Inovsys, SuperOx, Takoma) et son Campus des métiers et des qualifications (CMQ), sur le stand de 450 m2 (Hall 4, stands B52-54-78) de la Région Provence-Alpes-Côte d’Azur.

« Nous serons présents sur le Bourget avec 8 partenaires, tous démonstrateurs de l’Industrie du Futur ici en Région PACA : Le stand sera le reflet de l’industrie du futur en PACA », explique la TEAM Henri-Fabre.

L’association apparaîtra en outre aux côtés de l’ARII (Agence régionale pour l’innovation et l’internationalisation), du pôle de compétitivité spécialisé Cluster Safe, porteur de l’organisation du stand pour la Région, une quarantaine d’entreprises et les agences de développement économique Provence Promotion, Team Côte d’Azur, Vaucluse Provence Attractivité et Hautes-Alpes Développement.

Pour le pilote de ce projet, qui vise à créer une filière industrielle de référence internationale dans le domaine des procédés du futur, de la mécanique et des services avancés aux industries, ce sera entre autres l’opportunité de mettre en exergue son technocentre, pierre angulaire de l’ensemble et centre de ressources technologiques mutualisées d’une valeur de 12 M€.

Sensibilisation aux nouvelles technologies susceptibles de bouleverser les méthodes de conception et de production.

« L’industrie du futur se construit autour des nouvelles technologies. Ce technocentre a été conçu pour les rendre accessibles aux PME. La finalité étant de leur donner les moyens de monter en compétences de façon à accroître leur compétitivité. Parallèlement, des groupes de travail dans plusieurs technologies clés favorisent l’émergence de projets collaboratifs pour accélérer les transferts technologiques entre les filières », justifie le positionnement Vincent Gabette, président de TEAM Henri-Fabre depuis quelques jours.

Pour le nouvel élu, qui ouvre une nouvelle page de trois ans (durée de sa « mandature »), l’endroit est stratégique pour « recruter ».

« Notre projet s’inscrit dans un écosystème local. Il dépend de l’attractivité territoriale mais doit aussi y contribuer. Pour que nos entreprises se développent et que l’on puisse attirer de nouveaux savoir-faire et compétences, il faut que le territoire ait une offre de qualité en matière de foncier économique, de transport et de logement avec une vision globale du territoire métropolitain. Nous travaillons toutes ces problématiques de concert avec les autorités publiques ».

À l’occasion du salon, Andrey Vavilov, président de l’entreprise russe SuperOx spécialiste de la supraconduction, qui a choisi le Technocentre des Florides pour y implanter son centre européen de R&D, se verra remettre (le 21 juin) le label « Invest in Provence » par Solange Biaggi et Vincent Gabette, respectivement présidente de Provence Promotion et président de Team Henri-Fabre en présence de Jean-Luc Chauvin, président de la CCI Marseille Provence et de Béatrice Aliphat, déléguée à l’Industrie et aux réseaux d’énergie à la Métropole d’Aix-Marseille Provence.

 

Quelles seront les tendances du Bourget 2017 ?

Dans les halls, les thématiques qui feront le buzz ne seront pas étrangères aux véhicules du futur, drones, expérience passager, intelligence artificielle, mégadonnées et méthodes de fabrication innovantes.

Pour leur offrir un écrin, Paris Air Lab monte en gamme son espace, initié en 2015, consacré à l’innovation dans le Hall Concorde du Musée de l’Air et de l’Espace. Comme la plupart des grands salons aujourd’hui, il visera à favoriser les rencontres entre grands acteurs de la filière et des start-up apportées ou identifiées par Starburst Accelerator.

Quelque 160 appareils civils et militaires devraient y faire des démonstrations en vol ou être exposés au sol.

Airbus Group – Airbus, Airbus Defence and Space et Airbus Helicopters -, présentera des drones, les hélicoptères de la génération H- (H135 et le H145 et le H160, sélectionné en début d’année pour servir de base au futur hélicoptère interarmées légère), les appareils passagers A321neo et l’A350-1000 pour la première fois, au sol et en vol. L’avionneur européen devrait aussi investir une nouvelle zone « Digital Exhibition » offrant de multiples expériences en réalité virtuelle.

Côté Boeing, le 737 MAX 9 (qui a effectué son premier vol d’essai en avril dernier et poursuit actuellement sa campagne de certification) prendra part aux démonstrations en vol mais le 787-10 restera sur le statique.

 

Dans quelle conjoncture s’ouvre le plus grand rassemblement mondial ?

Des paradoxes. En dépit des annonces de suppression de postes qui n’épargnent aucun des grands constructeurs mondiaux, jamais on n’a construit autant d’avions (723 pour Boeing l’an dernier et 629 pour Airbus) tandis que les carnets de commandes d’Airbus et de Boeing assurent une visibilité au long cours.

Fin mai, Airbus avait enregistré 73 commandes nettes d’avions depuis le début de l’année et livré 242 appareils. Son carnet de commandes ressortait à 6 705 appareils, représentant quelques huit années de production.

Au 30 avril 2017, l’avionneur américain avait enregistré 210 commandes nettes et un peu moins de 200 livraisons. À cette date, il avait 5 744 avions à livrer.

Selon leurs prévisions respectives, publiées en 2016, Boeing table sur plus de 39 600 livraisons d’avions neufs d’ici à 2035, un marché d’une valeur de 5 900 milliards de dollars. Airbus, qui, contrairement à son rival, ne comptabilise pas dans ses prévisions les avions de moins 100 sièges, estime les besoins à 33 070 nouveaux appareils. Un marché de 5 200 milliards de dollars.

Ces données s’étayent sur une croissance attendue du trafic aérien de 4,8 % par an en moyenne au cours des 20 prochaines années selon Boeing et de 4,5 % selon Airbus.

L’Association internationale du transport aérien (Iata), qui représente plus de 200 transporteurs aériens prévoit pour le transport aérien un chiffre d’affaires de 743 milliards de dollars en 2017.

 

L’emploi, au coeur des enjeux

L’emploi sera, cette année encore, au cœur du réacteur pour aider la vingtaine de métiers de la production (essentiellement ceux transverses à la métallurgie) en souffrance à trouver des candidats. Selon le Groupement des industries françaises aéronautiques et spatiales (Gifas), qui a notamment travaillé sur la refonte des diplômes du CAP au BTS, 2 000 postes seraient ouverts en permanence. Le syndicat professionnel proposera ainsi pour la troisième fois son « Avion des Métiers », qui reproduit la ligne d’assemblage d’un A320.

A.D

Photos : Le Bourget ©DR

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Le programme de la TEAM Henri-Fabre au Bourget

L’association a prévu une série d’ateliers techniques de 20 minutes assurés sur son stand par ses partenaires.

Mardi 10 h

EDITAG : IoT Industriel : exemples d’applications dans la chaîne de production

Mardi 14 h

INOVSYS : Robotisation des procédés : de la preuve de concept à l’industrialisation

Mardi 16 h

EDITAG : IoT Industriel : exemples d’applications dans la chaîne logistique

Mercredi 10 h

CMQ HF : L’emploi et la formation dans l’industrie

 Mercredi 14 h

INOVSYS : Maturité industrielle des procédés de fabrication additive : du démonstrateur au line manufacturing

 Mercredi 16 h

SuperOx : Supraconducteurs à haute température : nouvelles perspectives dans l’industrie aérospatiale

 Jeudi 10 h

Takoma : Réalité virtuelle : démonstration

Jeudi 15 h

INOVSYS : Réduire les couts opérationnels par l’innovation technologique

 

Par ailleurs, Provence Promotion a organisé un circuit industriel à la découverte de l’écosystème local qui emmènera en Provence (dès le lendemain de la fermeture du salon) une quinzaine d’entreprises canadiennes, américaines et belges présentes au Bourget et dotées d’une technologie de pointe dans le domaine de la mécanique et des matériaux. Elles visiteront notamment les plateformes mutualisées du technocentre Henri-Fabre.